Toute l'équipe de TCN vous souhaite une excellente année 2013, faite de santé, de plaisirs partagés (sportifs, mais pas que), de bonheurs simples avec familles et amis. Que 2013 soit ce que vous en ferez !
Une belle aventure en montagne, avec Marc B., récit minimaliste.
13 heures mardi 21 aout, départ de Houches. Très chaud.
Col de la Vozza. Glacier de Bionnassay et Mont Blanc en fond d’écran.
Remontée de la vallée des Contamines.
Notre Dame de la Gorge.
Montée au col du Bonhomme, terrain connu !
Devant nous vers le Sud, le Beaufortain, dans la lumière du soir.
On trace vers le refuge du col de la Croix du Bonhomme, notre refuge pour la nuit.
Arrivée à la frontale.
Mercredi, départ 5h30.
Crète des Gittes. Troupeau de bouquetins surpris
Refuge du Plan de la Lai.
Beaufortain, bellissimo !
Longue montée au Col du Bresson, minéral.
Le temps s ‘écoule sans épaisseur
La Pierra Menta se dévoile, ….....par petites touches
descente, refuge de la Balme, puis en direction de Bellentre, en bas dans la vallée.
Le Mont Pourri et son glacier en ligne de mire
Arrivée en bas desséchés par la chaleur.
Repas in extremis, merci les petites dames du restau de Landry, pour votre assiette bien garnie !
Remontée en direction de la Vanoise.
Arrivée 17h30 au refuge de Rosuel. Sage décision d’arrêter tôt car l’orage arrive à 19h, bien court mais violent.
Jeudi départ 4h30, frais et reposé, pour une grosse journée.
Ça monte dur.
Entrée en Vanoise
Le jour se léve doucement.
Chamois aperçus sur une crête, ils matent les bipèdes.
En contrebas le lac de la Plagne et le refuge d’Entre le Lac.
Sentier qui chemine,…....................................Ou est le col du Palet ? Là ou celui ci ?
La montagne nous réserve toujours des surprises !
Froid, les gants, la polaire
Passage au refuge du col du Palet. Les randonneurs se préparent à partir
Arrivée au col du Palet, le soleil nous chauffe
Le glacier de Tignes alternance de gris et de blanc
Descente sur Tignes et Val Claret, retour vers la civilisation
Marc ressent un problème sur les ligaments du genou
Longue montée en direction du col de la Leisse.
Au col la vallée de la Leisse se déroule, à notre droite les glaciers de la Grande Casse, au loin les glaciers de la Vanoise
Descente vers le refuge de la Leisse. Excellent accueil. Bon repas. Une bande de poule effrontées viennent quémander et n’hésitent pas à sauter sur la table.
Le ciel se charge.
Bien lestés, descente rapide.
Gouttes. La douche, on va l’avoir.
Sous les averses, remontées vers le refuge d’Entre Deux Eaux,
Chapelle Saint Bathélémy
puis refuge du Plan du Lac
Petite pause pour contempler la vallée derrière nous et les sommets emmitouflées dans leur écharpe de nuages.
La descente continue vers Bellecombe.
Retour du beau temps. Le vent du Sud chasse les nuages.
Progression rapide, descente sur Termignon.
Arrivée sans encontre, on zappe la portion de route dans la vallée, sans intérêt.
Arrivée 19h au refuge de Valfréjus. Repas copieux. Discussion avec les randonneurs
Vendredi départ 4h30 pour la dernière étape, déjà !
Temps incertain
Longue montée vers le col de la Vallée Etroite.
Lever progressif du jour
Le soleil rosit les sommets découpés
Au loin la croix du col signale la bascule vers le Sud.
Mont Thabor, Italie, Mont Viso, Queyras au loin
longue descente sur le refuge Tre Maggi.
Siamo in Italia
Longue remontée vers le col des Thures et les chalets des Thures.
Alpages très secs
descente sur Névache en suivant des vallées très érodées par les pluies capricieuses et les avalanches
Névache, le temps d’une assiette bien garnie
remontée sur le lac de Cristol. Montée raide en sous bois.
Mélèzes majestueux, sous bois herbeux
Le col de Cristol, Il se mérite
Traversée en direction du col du Granon.
Serre Chevalier de l’autre coté de la vallée
Les crêtes de Peyrolles nous invitent à avancer. Superbe sentier étroit à souhait perché sur l’arête.
Mais d’abord Le col des Batteaux. Montée assez courte, mais raide, sèche, rude comme on veut.
Un petit coup de turbo pour une montée ventre à terre, à fond. L’arrivée n’est plus très loin plus besoin d’être sage et prudent.
Ça souffle très fort en haut.
Secouées par le vent au sommet des crêtes nous avançons subjugués par la rudesse et la sauvagerie du lieu.
Panorama à 360°.
Sommets et Glaciers des Ecrins.
Vers le Nord, au loin les endroits ou nous sommes passés, il est long le chemin !
En bout des crêtes de Peyrolles, bascule acrobatique et cheminement dans la pierre à vif de la montagne.
Attention au pétage de gueule
Briançon en bas
19heures, l’aventure se termine.
Nous laissons les grands espaces
Fermeture de la parenthèse
Un griot prêt pour une nouvelle aventure
Les mots qui font les montagnes !
4H30
alpages
sommets trace
névé itinéraire
GR5 hésitation
massif plaisir
orientation rencontres
altitude projet
cartes autonomie
alpages préparatifs
trail
course
horizon
panorama
météo
torrents
averses crête
dénivelé refuge
intemporel poche à eau minéral
retiré averses repos
horizon vallées marmotte
calme aventure linaigrettes
torrent passion soleil
marmottes parenthèse sentier
crêtes glacier
vent nuages
froid ciel lever du jour soleil
petit déjeuner frontale Vanoise sac a dos partage
repos Mont Blanc montée intensité
nuit Beaufortain rudesse
douche Hautes Alpes temps
crozet Maurienne Mont Thabor
repas Tarentaise solitudes
pont Col du Bresson chamois
cascades Col du Bonhomme
découverte Col du Palet
autonomie Col de la Vozza Crétes de Peyrolles Col de la Vallée Etroite Lac des Thures
méléze sous bois dominer cascades massifs alpins défi
immensité érosion étapes
abrupt
mouillé
cairn
rochers
cailloux
vent
rosée
gué
cartes
étapes
marche
marques
Comme prévu, nous nous retrouvons au stade Jean Le Mouton à 5h00 du matin. Il y a Jerome, Jean-Luc, Bruno, Thirerry et son pote Tahar.
Nous voilà partis pour Plaine-Joux (74) à proximité de St GERVAIS dans la vallée avant Chamonix. On part tôt pour être à pieds d'Oeuvre pour 7h30 ou 8h00 au plus tard.
Nous sommes à l'heure, sauf le sac de Tahar qui est resté à Trévoux. Aurait-on un Gilbert avec nous ?
Nous commençons par un leger faux-plat descendant sur la route avant d'attaquer le sérieux, avec un chemin en sous bois. Dès que nous sortons du bois, "tels des loups" c'est pour attaquer le 1er dénivellé serieux: 1000 m D+ au programme avec quelques passages pas risqués mais vertigineux (n'est ce pas Thierry il comprendra). Le passage dans la cheminée d’accès au refuge de Platé est bien raide mais c’est de la belle montagne.
Refuge de Platé : nous sortons de l'ombre du matin en arrivant au refuge, avec un paysage de montagne à couper le souffle. Après une petite pause TUC , nous courrons pour attaquer le col de la PORTTETE à 2252 M. La grimpette finale est sérieuse mais là aussi un paysage à couper le souffle nous attends. Souffle qu’il est difficlle de récuperer car à plus de 2200m l'oxygène est plus rare et on manque un peu d’habitude.
Nous attaquons la première descente sur un long névé sur lequel nous pouvons courir à grandes enjambées, un vrai plaisirs. Un grand sourire se lit sur chaque visage, tout le monde est heureux de se retrouver ici sans contrainte de chrono, avec un rythme cool et un magnifique soleil sur la tête.
Refuge des Sales : pause déjeuné et plein d'eau nécessaire avec la chaleur qu'il fait maintenant.
Deuxième partie de la descente D1200- sur un sentier caillouteux avec beaucoup de randonneurs qui montent en se demandant bien ce que 5 GUGUS peuvent trouver d'intéressant à courir sur un sentier pareil. Nos "Bonjour" sont fréquents mais nous devons régulièrement laisser la priorité aux "montants". On descend vraiment à un bon rythme et certaines cuisses commencent à chauffer.
Nous arrivons au point bas du parcours (1000m) vers 12h00 mais trop tard pour l'apéro. Après la traversée d’un magnifique torrent on attaque la remontée vers le refuge des Fonts, 1404 m dans un joli hameau d'alpage. Sur ce chemin avec de nombreuses ruptures de pentes, la fatigue commence à se faire légèrement sentir.
Refuge des Fonts : on y fait une petite halte, reprise des forces et de l'eau et objectif le petit Col d'Anterne, D900+ haut. Tahar se tape une mousse et un bon sandwich de jambon du pays qu’il va falloir digérer.
Bien que sous les arbres, la reprise après la pause est laborieuse. Jean-Luc et Bruno sont devants, rejoins en fin de montée par Tahar qui a eu du mal à faire passer le jambon puis suivi par Thierry un peu plus loin. Il continue son apprentissage de la montagne avec bonheur.
Mais où est donc passé Jérôme ? On attend, 5, 10, 15 ... et 20 bonnes minutes plus tard notre Jérôme débarque avec le visage de celui qui vient d’en baver. Les crampes l’ont rejoint alors qu’il reste encore 2 gros coups de cul à franchir. On l'attend pour qu'il reprenne le dessus.
Puis on repart pour l’avant dernière montée vers le lac d'Anterne avec de nouveau des névés en devers à traverser. C'est un peu laborieux et stressant car on commence à voir les nuages d'orages s’accumuler sur le Mont Blanc. Faut pas trainer. L’endroit est splendide et on a à peine le temps d’en profiter qu’il faut attaquer le dernier raidard vers le Col d’Anterne.
C'est le dernier point haut de notre périple, toujours sous le ciel bleu et le chaud soleil. Finalement les nuages menaçants ne sont pas encore là. On se gave des paysages alentour puis on attaque l'ultime descente D1000-. La première partie est bien raide et technique puis c’est un long chemin "Jeepable" jusque Plaine Joux où l'on arrive vers 17h00. La descente est accompagnée par quelques coups de tonnerre sur le massif du Mont Blanc mais on est passé de l’autre côté du col et on ne risque plus rien.
9h00 de rando course de 38km et 2800m de D+/- dans les pattes, demandent une bonne récupération et un bon Perrier Citron.
Bravo pour cette superbe journée, bien organisée et merveilleusement menée par 5 fondus de la montagne.
Thierry et Tahar, inscrits sur le Tour des FIZ fin juillet 64km 5300m D+/-, on de sérieux doutes qu’à la stratégie de course à déployer sur de tels parcours. Encore une bonne occasion de les brancher ‘tu pars vite, tu accélères et tu finis à fonds’ ou encore ‘prends au moins 2 couvertures de survies, on sait jamais’.
Vous allez en chier les gars !!! Au moins ça fera un beau compte rendu pour le blog.
Jérôme a un peu le regard dans le vide et se rend compte que le manque d'entrainement est impardonnable pour ce genre d'expédition. Le petit somme sur la banquette arrière de la voiture sur le chemin du retour sera le bienvenu.
Malgré ces difficultés, tout le monde est très heureux de ce début de WE et repart vers le « Plat » Beaujolais. Vivement la prochaine fois, Maurienne, Beaufortain, Vanoise, … ?
Courage pour le Marathon du Mont Blanc du lendemain pour David et Régis.
Photos et vidéos :
https://picasaweb.google.com/115438621044317029215/2012_TourDesFizOff#
En attendant des articles qui tardent à venir du coté de TCN, je vous invite à lire le compte-rendu de Magali histoire de nous souvenir de ces super moments et de donner envie à ceux qui n'ont pas pu venir.
Il s’agit de la deuxième édition, à l’initiative de la société Raidlight qui s’est installé à Saint Pierre
de Chartreuse et a crée une ‘station de trail’en 2011.
Des parcours permanents sont balisés, tout autour de Saint Pierre, qui permettent de ‘travailler’ le
fractionné, le seuil, les cotes, sur des circuits plus ou moins longs.
Nous étions trois TCN, Carole, Régis et Philippe, motivés pour découvrir cette région et participer à
ces trois journées de trail.
Le programme était variée.
Après nous être retrouvés à Saint Pierre de Chartreuse en début d’après midi nous étions prêts à
démarrer.
Le jeudi 17, nous avions 6 ateliers variés, au programme :
la piste 250 m, ou il faut être véloce, le truc que j’aime !!
la boucle de 1 km vallonné,
la boucle de la Chapelle de 2,5km avec de la montée, c’est plus dans mes cordes,
le départ du kilomètre vertical, au moins on saura à quoi s’attendre demain....
Et pour finir en beauté, 200 m droit dans la pente. Ça c’est un truc de dingue.
Vu du bas trop facile, donc départ à fond et la pente se redresse de plus en plus, les cuisses
chauffent, la respiration s’emballe et on arrive explosé.
Heureusement il y a des supporters en bas, ceux qui attendent leur tour et en haut, ceux qui ont déjà
donné !
Pour finir cette séance, repos en terrasse devant une boisson bien fraîche et qui pétille.
Le soir détente et un bon repas pour récupérer.
Vendredi matin, plusieurs conférences au programme.
J’ai suivi avec intérêt l’exposé de Patrick Bringer sur les spécificités de l’entraînement trail.
Il nous a beaucoup parlé de l’importance de la solidité musculaire, de gestion de l’effort, de capacité
à se ravitailler et de récupération.
Malgré le manque de temps pour développer tous ces points, cette présentation était très instructive.
Elle sera diffusée aux TCN.
Après un repas léger, nous avions rendez vous avec le kilomètre vertical, un nom barbare pour un
truc qui l’est !
Il s’agit de d’avaler 1000m D+ sur 4,7 Km.
J’étais très curieux d’essayer ce nouveau jeu.
Départ prudent pour bien me chauffer, je trouve un rythme qui me convient. La pente est
raisonnablement forte et je cours.
Après 2 Km, la pente se redresse 28 %, et je dois marcher. Partis sans bâton, je grimpe bien, ça
ronronne.
Au loin un replat, mais non ça n’est pas fini car il y a encore un gros coup de cul 34 % annoncé.
Et c’est l’arrivée à la Scia, après un finish dans les rochers. Terrible !!
En haut un mouton imperturbable, comment a t il fait ? Il a du pensé qu’en haut l’herbe était
meilleure.
Comme récompense la vue, un panoramique à 360°, avec Belledonne à l’Est encore très enneigée,
la Reserve Naturelle des Hauts de Chartreuse, enneigée égalemnet et parsemée de résineux, trois
des quatre sommets de Chartreuse, le Grand Som, le Charmant Som et Chamechaude. Pas très
élévés, aux environs de 2000m, ils ont fier allure sous le soleil.
Nous enchaînons une descente tranquille, puis nous profitons de la soirée, avant le trail du
lendemain.
Samedi réveillé à 5 heures et demie par mes charmants voisins hollandais qui plient leur tente, ils
lèvent le camp. Je déjeune un peu plus tôt que prévu.
Au moins je n’aurais pas de lourdeur à 8 heures et demie, au moment du départ.
Le temps n’est pas terrible, il bruine.
A 8 heures il pleut comme vache qui pisse. Benoit Laval arrive avec son bulletin météo et nous
annonce beau temps. Ça se vérifiera.
De nos jours, mieux vaut regarder son écran que les nuages pour avoir la bonne météo. C’est fou
non !
8 heures 30, nous voilà partis. 49 Km et 3300m D+, mais surtout montée au Grand Som puis au
Charmant Som et Chamechaude pour finir. Une belle visite de la Chartreuse.
La montée vers le Grand Som est tranquille au début, avec une très belle ascension en forêt.
Au sortir de la foret, passages de névés, attention à la glissade ! De très jolis passages et paysages.
Ensuite ça monte plus dru et pour finir passages rocheux ou câbles et cordes sont les bienvenus.
Arrivée en 1H59 au Grand Som à 2026m. C’est pas très haut mais ambiance montagne assurée.
Le vent souffle et il fait très frais.
Je ne m’attarde pas trop, juste le temps de quelques photos et c’est la descente très piégeuse au
départ, les rochers mouillés sont glissants.
Descente tranquille ensuite jusqu’au ravito peu après le Couvent de la Grande Chartreuse, imposant.
Ravito rapide, et pour suivre une interminable montée vers le Charmant Som.
Pente très légère en sous bois au départ, puis sortie assez aérienne en haut.
Arrivée en haut en 5 heures, tout va bien ça ronronne, méfiance !
Descente en enchaînant vers le col de Porte que l’on aperçoit et qui ne semble pas très loin.
Pourtant il me faudra une grosse heure pour arriver et profiter du deuxième ravitaillement.
Je décide de prendre mon temps, je ne me sens pas super.
Je regarde ce qui m’attend Chamechaude est là tout là haut, très minéral. Heureusement c’est la plus
petite des montées 750 m !
je repars tranquille, les jambes vont bien, je ne me sens pas fatigué, mais je commence à avoir des
doutes sur mon estomac.
Un peu plus tard ça se vérifie, ça se gâte, et je commence à entrer dans le cycle nausées,
vomissements, je limite au strict minimum la quantité d’eau.
Évidemment gros doutes , faut il boire plus ? s’arrêter ?....
Bon comme j’avance toujours, il y a de l’espoir !
Après avoir regardé le sommet approchait tellement lentement, je suis finalement surpris lorsque je
sors au col, je pensais que c’était plus loin encore !
Finalement, il ne reste plus qu’à négocier une descente économique.
J’adopte l’allure randonnée, de toute façon mon estomac n’accepte rien d’autre.
Très beau et long passage dans les forêts de hêtre, je suis seul depuis un bout de temps maintenant
et finalement j’aime autant.
J’avance et l’esprit vagabonde. Le temps n’a plus vraiment d’épaisseur.
Voilà 10 heures que je suis parti et j’arrive au départ du Km vertical, juste en dessous Saint Pierre,
au moins je sais à quoi m’en tenir, un dernier coup de cul, à négocier calmement et c’est l’arrivée.
Évidemment la performance sportive n’est pas au rendez vous, 10 heures 30. c’est plus que je ne
pensais.
Mais finalement ce fut une belle ballade et une belle découverte de ce petit coin de montagne à nos
portes.
Les péripéties n’étaient toutefois pas encore terminées.
Le Griot promeneur
Oyez, oyez, ….et qu’on se le dise :
· Week End TCN famille, en montagne,
· le week end du 16/17 juin,
· à Saint Christophe en Oisans-la Berarde .
Arrivée conseillée le vendredi 15 juin.
Temps de trajet depuis le Beaujolais : 2heures 30.
Nous serons hébergés dans un bâtiment du Club Alpin Belge qui offre 32 places en dortoirs et chambres.
Nous disposons d’une cuisine équipée.
Prix de la nuitée 15€ environ par personne.
La Bérarde est situé dans le Parc National des Ecrins.
A 1700 mètres d’altitude, c’est une haute vallée entourée de sommets prestigieux des Ecrins : la Barre des Ecrins 4000m, l’Ailefroide 4000m, Grande Aiguille de la Bérarde 3450m, etc.
Au programme du week-end :
Pour découvrir cette vallée vous pouvez suivre le lien : http://www.berarde.com/. Faites aussi un tour sur Google Earth/ La Berarde, vous allez rêver !
Merci de confirmer votre participation, avant le 22 avril en remplissant le tableau
theizecoursenature[at]gmail.com
Pour télécharger le bulletin d'inscription de la saison 2014/2015, cliquez ici
La cotisation de cette année s'élève à 20€